Le Faucon pèlerin ne niche pas ici mais migrateurs et hivernants sont bien réguliers sur "mes" terres. Jeune de l'année le 18 déc. et adulte trois jours plus tard.

Un couple de Râles d'eau sort du roncier.

En ces temps de pluie, de vent en bourrasque, toutes les rencontres sont à prendre.

Deux Grues en halte chez moi. Mon imagination me fait croire qu'il doit s'agir de Maman grue avec sa fille fatiguée par son premier voyage...

Curieux Bruant zizi avec sa tête presque entièrement jaune.

Pluie, vent, pluie... L'envie de sortie est trop forte et c'est sous un parapluie que je croque le jeune faucon en chasse.

Les migrateurs défilent.

Retour sur ma Loire. Deux heures d'attente, rien. Je vais partir lorsqu'un Rossignol s'avance sur le tapis de lentilles d'eau. Le temps de quelques croquis et un Râle le rejoint sur scène. Magique ....

Grosse chaleur (comme en France semble-t-il), nous nous réfugions en forêt. Dans les prairies alentours des hardes de Daims s'exposent avec prudence.

Le Faucon à l'apéritif et l'Aigle au dessert !

A chaque voyage une cible. Cette fois l'espoir est de dessiner deux nouvelles espèces : l'Aigle impérial et le Faucon sacre. L'objectif est atteint le même jour !

Le Faucon sacre aux prises avec un Busard.

Revenu le lendemain je m'attache à multiplier les aquarelles des Cormorans pygmées, une espèce découverte entre Grèce et Albanie en 1975, à une époque où je ne dessinais pas.

C'est grâce à l'info d'un jeune slovaque, Martin (prononcez Martine) rencontré quelques jours auparavant que peux profiter, à la meilleur place, de l'avifaune de ce plan d'eau.

Cet été l'envie de nouvel horizon nous mène en Slovaquie.

Dès les premiers jours j'ai la chance de rencontrer l'Aigle pomarin et la Fauvette épervière, deux espèces découvertes à la chute du mur de Berlin en RDA, il y a 35 ans.

Un monstre se dresse devant moi sur le petit chemin solognot !

Après l'Alsace, la Lorraine.  Comme un voyage dans le temps avec le calme, le silence et la douceur...

Visite de Strasbourg.

Les nombreux plans d'eau le long du Rhin permettent de belles observations.

En route pour l'Alsace je fais halte à l'étang du Der en Champagne.

Ce printemps restera l'un des plus "humide".  Ce matin le Milan noir encore mouillé ouvre ses bras comme une offrande au soleil.

Une Corneille m'intrigue devant quelque chose sur la levée. Je stoppe mon vélo et constate qu'il s'agit d'une Vipère aspic.

Passereaux autour du gîte dans l'Hérault.

Un jeune Ragondin est juché sur le cou de son parent !

  Je suis revenu (à distance) face à la loge du couple de Mésanges nonnettes. 

J'évite de déranger les nicheurs et m'autorise une séance de dessins que dans des conditions de sécurité à distance comme pour ces Sittelles.

Un couple d'OEdicnèmes de retour d'hivernage au sud se faufile dans le champ.

Un Ibis pâture dans l'espace restreint qu'autorise la Loire en crue.

Dans un saule bourgeonnant un Bihoreau retient déjà sa place pour nicher sur l'étang .

En route pour un gîte familial en Auvergne, un Elanion se présente à ma fenêtre... Arrêt minute pour quelques croquis.